Tu n'aurais pas pu prendre les escaliers ?

J’étais à présent dans cet ascenseur, l’odeur qui y régné était un vieux mélange d’urine mais aussi de cendre de cigarette. Le sol de l’ascenseur faisait tout aussi peur, tout comme les mur jaunâtre de saleté. C’est surtout lorsque j’eus terminé la constatation de la salubrité des lieux que je me demanda vraiment quel genre de personne pouvait habitait dans un tel
immeuble. C’est lorsque nous arrivons à l’étage du dessous, au bout d’une grosse minutes que l’ascenseur émit un bruit assez strident qui me fit assez peur. Ce n’est pas que j’ai la phobie des ascenseurs et encore moins la claustrophobie c’est juste que le fait d’être enfermé dans ce genre de lieux ne m'intéressait pas vraiment.

Les portes s'ouvrirent toutes les deux, afin de laisser une personne entré. Je me sentais déjà moins seul et le fait d’être avec une autre personne me rassurait. J’aurais peu négocier avec la personne pour qu’elle étale un de ses vêtements afin d’attendre sagement les secours. Avec politesse je sourit à cette personne, sans même me rendre compte tout de suite que la jeune blonde qui était face à moi était tout simplement mon ex petite amie. Non pas l’une de ces ex comme celle que j’ai laissé dans son lit seul nu sans même lui écrire mon numéro de téléphone sur un simple bout de papier, une ex pour laquelle j’avais espérai construire quelque chose de confortable pour un moment de notre vie. C’est alors lorsqu'elle prononça un simple “-Salut” que je reconnu sa voix et sans même savoir pourquoi un grand sourire se dessina sur mes lèvres.

-Tu vas bien depuis ?

Oh le nul! Elle allait peut être croire que j’avais envie de lui faire la discussion, du genre les deux ex qui se revoient et comme le mec n’a rien en se moment il veut se la faire. Je ne voulais vraiment pas qu’elle pense sa de moi étant donné l’importance que j’avais peu lui donner à elle tout comme à notre relation. C’est quelque seconde après l’entrée d’Alexis et la fermeture des portes que ce que j'espérai depuis quelques minutes, nous furent tout deux coincés dans cet ascenseur à l’odeur nauséabonde. Les lumières s'éteignirent toute en même temps, instinctivement je me rapprocha d’Alexis et c’est à se moment même que je lui frola la main. Lorsque je m’en aperçus je me recula de suite

- Je m'excuse, tu n’as rien ?

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Tu n'aurais pas pu prendre les escaliers ?

J'étais à présent dans cet ascenseur, l'odeur qu'il y régnait été un vieux mélange d'urine, mais aussi de cendre de cigarette. Le sol de l'ascenseur faisait tout aussi peur, tout comme les murs jaunâtre de saleté. C'est surtout lorsque j'eus terminé la constatation de la salubrité des lieux que je me demandais vraiment quel genre de personne pouvait habiter dans un tel immeuble. C'est lorsque nous arrivons à l'étage du dessous, au bout d'une grosse minute que l'ascenseur émit un bruit assez strident qui me fit assez peur. Ce n'est pas que j'ai la phobie des ascenseurs et encore moins la claustrophobie c'est juste que le fait d'être enfermé dans ce genre de lieux ne m'intéressait pas vraiment.

Les portes s'ouvrirent toutes les deux, afin de laisser une personne entrer. Je me sentis déjà moins seul étant donné que le fait d'être avec une autre personne me rassurais. Si jamais l'ascenseur par malheur serait tombé en panne, j'aurais pu négocier avec la personne pour qu'elle étale un de ses vêtements afin d'attendre sagement les secours. Avec politesse je souris à cette personne, sans même me rendre compte tout de suite que la jeune blonde qui était face à moi était tout simplement mon ex petite amie. Non pas l'une de ces ex comme celle que j'ai laissé dans son lit seul nu sans même lui écrire mon numéro de téléphone sur un simple bout de papier, une ex pour laquelle j'avais espéré construire quelque chose de confortable pour un moment de notre vie. C'est alors lorsqu'elle prononça un simple "-Salut" que je reconnu sa voix et sans même savoir pourquoi un grand sourire se dessina sur mes lèvres.

-Tu vas bien depuis ?

Oh le nul! Elle allait peut-être croire que j'avais envie de lui faire la discussion, du genre les deux ex qui se revoient et comme le mec n'a rien à se mettre sous la dent en ce moment il veut se la faire. Je ne voulais vraiment pas qu'elle pense ça de moi étant donné l'importance que j'avais pue lui donner à elle tout comme à notre relation. C'est quelque seconde après l'entrée d'Alexis et la fermeture des portes que ce que j'espérai depuis quelques minutes, nous furent tout deux coincés dans cet ascenseur à l'odeur nauséabonde. Les lumières s'éteignirent toute en même temps, instinctivement je me rapprochas d'Alexis et c'est à ce moment même que je lui frolas la main. Lorsque je m'en aperçus je me reculas de suite

- Je m'excuse, tu n'as rien ?

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Tu n'aurais pas pu prendre les escaliers ?

A présent dans le noir, la mauvaise odeur qui était pourtant présente depuis le début ne cessait de s'accentuer. J'entendais bien qu'Alexis tentait d'appuyer sur l'un des boutons de l'ascenseur, sans doute celui pour appeler les secours. Le plus horrible dans l'histoire n'était pas vraiment d'être enfermé dans un ascenseur, mais bien sûr d'être enfermé dans un ascenseur où l'air fut complètement irrespirable.


Tout deux nous semblions tout gêné, je sentais au timbre de sa voix qu'Alexis avait juste une envie c'était de s'enfuir d'ici et je compris peu à peu que c'était peut-être due à ma présence et surtout au fait que depuis la fin de notre relation nous n'avions jamais parlé du pourquoi chacun d'entre nous c'était senti si incompris. Cela faisait plus de trois ans et c'était comme si l'avenir souhaitait que l'on se dit enfin les choses, face à face, même si aucun de nous deux n'oserait lancer la discussion.

- Pour moi le plus dérangeant n'est pas vraiment d'être enfermé dans le noir, mais plus l'odeur horrible d'urine qui m'empêche de respirer.

Nous parlions comme si l'air de rien n'était, du moins moi je faisais surtout semblant que le passé n'avait eu aucune conséquence sur notre ancienne amitié. Je n'avais vraiment pas envie de devoir me chamailler avec Alexis dans cet ascenseur sale, surtout que nous allons devoir y rester un long moment. "On fait quoi maintenant ?" Elle avait toujours ce fameux mot pour me faire rire, je souris lorsqu'elle eut posé cette question parce qu'au fond elle me l'avait posé comme ci l'on pouvait choisir ce que l'on allait faire et je savais bien que si elle en avait vraiment eu le choix elle serait déjà bien loin de moi.

-Mise à part si tu nous sorts un jeu de carte fluorescent, on ne peut qu'attendre.

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