childhood ◗
Vous vous rappelez tous de cette petite fille modèle ? Cette petite blonde, qui était dans la même classe que vous et que tout le monde traitait comme une petite reine... Celle qui avait toujours de belles robes roses ou bleu ciel et qui, contrairement à vous, ne s’écorchait jamais les genoux dans la cour de l’école. Celle qui pratiquait la danse ou jouait du piano depuis qu’elle avait 5 ans. Celle que tout le monde désirait avoir dans son équipe en sport. Plus grande, elle était maintenant celle devant qui tous les garçons étaient en admiration. Toujours entourée d’amis, chaque jour différent. C’était cette jeune lycéenne populaire dont vous étiez secrètement jaloux alors que le reste de votre petit monde semblait l’adorer. Vous convoitiez sa vie tellement parfaite aux yeux de tous. Aujourd’hui vous ne savez pas ce qu’elle est devenue, mais en regardant les vieilles photos de classe, vous vous souvenez toujours d’elle. Cette petite princesse... Peut-être que la votre était brune ou jouait du violon. Il se peut aussi que vous ayez fait parti de son cercle d’ami ou que vous étiez juste une de ses nombreuses connaissances. Mais je suis sûre que vous avez déjà croisé le chemin d’une de ses "filles parfaites" pour qui, selon vous, tout est tellement facile et agréable. Zellie Prescott est l'une d’entre elles.


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mom why do not you love me?
tu le regardais s’en aller. tu étais triste, avais les larmes aux yeux, mais te contenais. tu savais le faire, ça faisait dix ans que tu serais la mâchoire et les poings. il te fit un signe de la main et disparut, laissant derrière lui son odeur si particulière, mélange de cigarette et de bière. tu t’assis sur le bord de la route et collas tes jambes à ta poitrine. tu posas ta tête sur tes genoux. cette position te canalisait, te permettait de réfléchir. adrian était partit, lui aussi. c’était le sixième en trois mois à te laissée là, toute seule avec ta mère ivrogne et irresponsable. ils avaient tous étés très gentils avec toi, et c’était pour cela que ta mère les avait bannis de votre vie. depuis la mort de ton père, deux ans plus tôt, ta mère était devenue âcre et mauvaise, persuadée que l’accident de voiture avait été provoqué par ta faute. ce qui était totalement faux, tu n’étais même pas présente ce soir-là. ta mère était juste trop saoule pour s’en souvenir. peu importe, elle refusait catégoriquement que sa fille soit heureuse alors que sa vie à elle était détruite. elle ferait de ton existence un enfer jusqu’à sa propre mort. tu en étais consciente, ta mère ne te l’ayant que trop répété.
en silence, après une bonne demi-heure à méditer, tu te relevas. tu marchas, tel un zombie, vers la maisonnette que tu partageais avec ta mère. tu poussas et fixa avec dégoût l’espèce de loque humaine qu’était devenue ta génitrice. tu allais exploser. tes phalanges devenaient blanches à force d’être serrées. tu te mordais la lèvre supérieure, et finit même par sentir du sang en couler délicatement. ta mère se retourna, quittant des yeux son émission télévisée.

- Tu comptes rester là encore longtemps ? Je suis occupée, va jouer sur la route.
- T’es une vraie salope.

tu prononças ses mots d’un ton solennel. tu étais blessée, tu souffrais plus que les autres fois. adrian était le portrait craché de ton père, en mieux. il était plus sympathique et souriant, câlin et toujours plein d’énergie. il s’était occupé de toi comme personne auparavant, et son départ prématuré déchirait ton cœur de jeune fille. ta mère soupira et se releva. elle titubait, décidément encore bourrée. elle s’approcha de toi et posa une main sur ton épaule. elle te sourit délicatement, te caressa la joue. l’acte le plus doux qu’elle ne t’ait jamais porté. la gifle n’en fut que plus douloureuse et violente.

- Et toi, tu es une gamine abrutie. Adrian est partit de son plein gré, il te détestait. Tout ce qu’il aimait, c’était ce qu’on faisait lui et moi. Tu sais, dans notre lit. Tu nous entendais, non, ma chérie ?

tu courus vers ta chambre et t’enferma. ta mère riait à gorge déployée, son humour ne faisant rire qu’elle. ton petit corps frêle et fatigué tremblait. ta vie était merdique. tu t’affalas parterre et contempla le parquet. écrasée contre le sol, là où était ta place. en bas de l’échelle sociale. un rat. tu avais toujours été renfermée et timide. cet énième moment de souffrance aussi bien physique que moral t’avait changée. tu t’essuya les yeux et te releva. tu ne désirais plus te faire marcher sur les pieds, aussi bien par ta mère que par n’importe qui d’autre. tu deviendrais plus forte. tu n’aurais jamais les conditions pour devenir quelqu’un, vu la mentalité des gens, mais tu pouvais te battre pour ta fierté. tu n’étais pas moins intelligente qu’une autre, tu avais juste moins d’aide et de moyens. tu n’avais besoin de personne, et écraserais ceux qui seraient devant ton chemin. c’était le début d’une nouvelle vie. la mort de l’ancienne zellie.



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Maman,
j’espère que tu vas bien. je suis passé au centre il y a quelques jours mais tu dormais, j’ai préféré ne pas te déranger. après tout si je t’avais réveillé tu aurais mal réagi et te voir aigrie, mauvaise et méchante comme avant m’aurait de nouveau blessé. malgré tout tu fais énormément d’effort, je m’impatiente de ta sortie, tu me manques. maddison s’occupe bien de moi, on a finit de peindre ma chambre, je t’enverrais une photo histoire que tu puisses voir à quoi elle ressemble. en parlant de photo hier soir maddie m’a montré vos photos de famille. je ne savais pas que tu étais blonde petite. sinon tout se passe pour le mieux, j’ai passé mes dernières vacances dans la maison de vacance de grand-mère en californie, maddie souhaite m’emmener en europe l’an prochain et j’ai un job de serveuse au mystic grill. tu vois, je réussis ma vie, je ne suis plus la petite souris timide et effacé, je deviens une vrai femme à présent et j’espère qu’un jour tu pourras être fière de moi. je voudrais tellement que l’on puisse entretenir une véritable relation mère-fille c’est pourquoi j’aimerais te parler de quelque chose qui me tient à cœur depuis un moment.
j’ai rencontré un homme durant l’un de mes services. beau, charmant, tout pour plaire. je suis tombé dans son piège, enfin je n’ai pas tellement eu le choix. je ne pourrais pas t’expliquer comment ni pourquoi , tu me prendrais pour une folle à vrai dire, dis toi simplement que cet homme est captivant, magnétisant, le genre d’homme dont on ne peut se défaire. mais je ne l’aime pas, bien au contraire, il me fait peur et il m’attire à la fois. c’est comme regarder un film d’horreur : tu sais comment l’histoire va se terminer, tu sais aussi que tu vas avoir peur et pourtant tu restes planté là devant ton écran. de temps à autre tu fermes les yeux, tes mains passent devant ton visage et tes doigts te laissent de nouveau entrevoir l’écran. tu veux tout arrêter mais quelque chose t’en empêche, et ce quelque chose pour moi c’est cet homme. je peux pas m’empêcher de penser à lui, de lui obéir, d’être sienne. je voudrais mais je ne peux pas c’est plus fort que moi…

tu n’arrives pas à continuer ta lettre, tu n’arrives pas à celer l’enveloppe, c’est trop dur, de nouveau c’est plus fort que toi. tu ne peux pas lui désobéir, tu es littéralement sous son emprise. alors tu froisses le papier et le jettes sous ton lit. cet homme te rends folle…

MY SWEET LITTLE DOLL
Merci encore d'avoir pris mon scénario, on va bien s'amuser mouhahaha

BIENVENUE SUR LE FORUM
& si tu as des question n'hésites pas

Alexis P. Johnson a écrit:

Welcome, petit joujou de Kol !

merci jolie momsen.

Rhian Mcalister a écrit:

Salut, amuse toi bien avec Kol

Caroline Forbes a écrit:

Bienvenue parmi nous.

Kol Mikaelson a écrit:

MY SWEET LITTLE DOLL
Merci encore d'avoir pris mon scénario, on va bien s'amuser mouhahaha

BIENVENUE SUR LE FORUM
& si tu as des question n'hésites pas

LA TIENNE, RIEN QUE LA TIENNE.
mais de rien, j'étais obligé de tout façon, il est wahou. (...)
aucun soucis.

Marlon-Emeric Eastwood a écrit:

Bienvenue !

han, logan. merci toi.

Katherine Pierce a écrit:

HAN LE JOUJOU DE KOL bienvenue parmi nous et n'hésites pas si tu as des questions

voilà c'est bon je suis rebaptisé "le joujou de Kol".
en tout cas, merci jolie brune.

Hum.. j'aime te l'entendre dire sweety
Merci encore

Kol Mikaelson a écrit:

Hum.. j'aime te l'entendre dire sweety
Merci encore