N'est-ce pas une superbe nuit pour allez camper dans les bois? Le croissant de lune est si faible que l'on ne perçoit que des ombres lugubres à travers les branches des arbres de la forêt. Une brume qui était d'abord légère s'installa de plus en plus aux racines du sol, tant qu'en une trentaine de minutes, s'était devenus un masque de la nature. Les seuls lumières dont le petit groupe d'adolescent disposait n'étaient que quelques lampes de torches et le grand feu autour duquel ils étaient assis et qui crépitait sous l'infime brise qui flottait dans les aires. Du petit groupe s'élevait des rires, ils buvaient joyeusement, se racontant des histoires pour se faire peur par une nuit pareille. Les quelques jeunes filles terrorisées se collaient les unes aux autres pour s'apporter réconfort. N'est-ce pas une superbe nuit pour aller camper dans les bois? Un branche craquait fessant crier les jeunes femmes en écho, et le plus costaud se portait volontaire pour aller voir ce qu'il clamait être rien du tout, pour que le des jeunes femmes cesses leurs idioties. Mais la seule chose qui ressortis des ténèbres fut un cris perçant de terreur qui s’évanouit presque aussitôt. Cette fois-ci s'était la panique. Un deuxième garçon décida d'aller voir, cette fois-ci avec une buche enflammer pour avoir un peu de visibilité. mais encore une fois seul un cris retentit dans les pénombre laissant les jeunes d'autant plus effrayer... Chacun d'entre eux, l'un après l'autre vint a disparaitre jusqu’à ce qu'il ne reste plus qu'une jeune femme terroriser fuyant le plus vite qu'elle le pouvait, trébuchant dans sa course. Ce rire, terrifiant et sadique se dressa juste au dessus d'elle. Il avait plonger son regard dans le siens pour garder sa dernière cible en vie, du moins quelques instant, le temps de d’abreuver un moment à son poignet en rythme avec la chanson des Beatles qui jouait de leurs petit radio à pile. La dernière victimes ensanglantée tomba sur la terre sec du sol, juste sous les pieds d'un Klaus au sourire ensanglanté qui admirait son petit massacre de soirée. N'est-ce pas une superbe nuit pour aller camper dans les bois?

Le feu crépitait doucement, il n'y avait pas beaucoup de vent pour lui apporter résistance, ni assez de vent pour qu'il flaire tout de suite la piste de la vampire qui avait choisi les premières loges pour assister aux décombres de cette boucherie. Au cours des siècles, Niklaus avait orchestré de grandes tueries dont certaine avaient marqués l'histoire, cependant les fait, évidemment, restaient changer pour les livres de classe. Les lèvres encore maculer de sang, les prunelles noircies de l'Originel admirait les corps lacéré qui se trouvait éventré et déchiqueter aux sols. Il n'y était certes pas allez en douceur, mais s'était plutôt évident que s'était désiré. Il ferait peur à n'importe quel passant. La petite musique en fond qui bloquait vue l'état assez lamentable de la radio après le carnage, les cadavres maculant le sol laissaient planer une odeur pesante de fer. Puis, une voix transperçait la grande noirceur, faible certes, mais qui parvint aisément à l'Originel qui voyait cette intrusion comme une source d'amusement supplémentaire. Que voulez-vous après un millénaire de vie, il faut trouver quelque chose pour se désennuyer. Un drôle de sourire vint a déformé le coin de ses lèvres en voyant cet intrus se découvrir elle-même. La moquerie était implicite. C'est une jeune femme à la chevelure ténébreuse qui apparaissait d'entre les branches. Celle-ci lui semblait ressurgir d'un souvenir, elle lui rappelait une époque tellement éloigner que même les livres d'histoire ne peuvent que supposer quelques faits bâtis sur peu de découvertes. Elle lui rappelait simplement quelqu'un qu'il avait connu il y a bien longtemps, peut-être un descendante, peut-être. Il ne s'attardait pas réellement à se souvenir, il n'y avait plus pensé depuis des siècles, s'y étant efforcer dès qu'il eut mit cette femme sauvage du passé sous terre. Siggy. Simplement à y songer, son visage vint à se déformer prenant des lueurs lugubres d'une semi-transformation, ce qui n'affichait rien de bon. L'idée que se souvenir et cet intrus soit la même personne était simplement impossible. « vous êtes soit incroyablement courageuse ou incroyablement stupide... »

Peut-être étais-ce le courage, pourtant il lui semblait plutôt évident que s'était de la stupidité. Plus elle se découvrait et baissant en quelque sorte sa garde, plus un rictus méprisant déformait le badigoinces de l'Originel. Que la jeune femme semble ressortir d'un de ses souvenirs attisaient un peu plus envie de jouer au moins un petit instant avant de lui arracher cette tête de petite imprudente. L'enfoncer sur un piquer et la garder en souvenir le temps que la putréfaction devienne trop pesante. S'il pensait lui laisser quelques vulgaires secondes pour fuir avant qu'il ne la prenne en chasse, en entendant son questionnement, l'amusement de la situation vint à prendre le dessus. Elle était, imprudente, inconsciente et trop curieuse, mais s'était plutôt divertissant. En tous les cas, Klaus pouvait dénoter que la jeune femme était un tant soit peu informé sur la légende formée autre de l'Originel. Malheureusement, elle n'était certes as assez avisé pour réagir comme n'importe quel être ayant le moindre esprit de conservation et fuir. Non elle prolongeait son interrogatoire. Plus elle débitait, moins l'hybride se concentrait sur l'esprit du passé à qui elle lui fessait vaguement songer. Pourtant, malgré sa présence, en aucun cas Niklaus voyait la possibilité que celle-ci soit celle qu'il eut aimé dans un passé si lointain maintenant. C'était une possibilitée qu'il aurait crue impossible, celle-ci était morte depuis si longtemps maintenant. Finalement un petit rire se glissant entre ses dents, tel qu'il en donnait la chaire de poule. Il finit par répondre. « on finit par ne plus porter attention après quelque siècle, ça n'a aucune importance. » puis le chiffre était trop élevé pour tenir le compte. « l'identité n'a pas la moindre importance, mais je suis curieux. Puis avant de jouer ensemble, fessons les présentations. Il me semblerait que pour ma part la réputation à parler. »

Certes elle lui donnait un nom sur lequel se pencher et pourtant aucune résonance vint éclairé sa lanterne comme l'on pourrait bien le dire. Ce nom n'avait aucun souvenir pour lui. Il ne semblait pas avoir eu connaissance de cette femme dans sa longue existence. Il ne faut d'ailleurs pas croire que c'est la longévité de celle-ci qui lui brouille ces souvenirs. La mémoire d'un vampire est trop puissante pour un tel oublies. Alors, d'où venait-elle et pourquoi cette perte de temps. Ce qu'il l'empêchait pour le moment de glisser sa main dans sa cage thoracique et de lui arracher le coeur en un instant. Elle avait changé de nom, dit-elle. À plusieurs reprise. Cette information pourtant n'égayait pas son intérêt pour la cause. Il lui semblait que plus il la laissait parler, moins il n'avait d'intérêt à la garder en vie. Ce qu'il croyait d'abord être une rencontre intéressante devenait plutôt pesante et ennuyeuse. Si seulement il pouvait se rendre compte. S'il pouvait se souvenir clairement, peut-être l'aurait-il reconnu. Il n'y songeait pas, à quoi bon s'était impossible après toutes ces années qu'elle resurgisse de sa tombe, il croyait plutôt en sa descendance. «Je fuyais un amour passé... Cela m'a-t-il rendue heureuse ? Non, bien au contraire, je n'ai fait que tuer et semer la terreur autour de moi. » Quel ennuie, pensait-il. L'écho de son histoire n'évoquait que la futilité. « c'est.... fortement ennuyeux. Je crois que l'on va passer directement à la fin du récit, deux choix te sont offerts. mort lente ou rapide, je suis un bon seigneur. » Une rapidité près indécelable, elle était prise entre l'écorce de l'arbre derrière elle et le corps de l'Originel.... un sourire pensant prit possession de ses lèvres et en quelque seconde il fut plus prêt de son coeur qu'il ne l'eut jamais été, l'empoignant, son bras disparaissant dans le torse de la jeune femme, menaçant de la vie en retirant avec sa main son coeur battant.

Il pouvais sentir son cœur battre contre sa paume et la température de son corps augmenter considérablement alors qu'un corps étranger qui appartenait à l'originel prenait place dans son anatomie. Il avait a bon nombre de reprise extirpé le cœur de ces victimes, souvent sans prendre le temps de voir la lueur de leurs regards avant l'ultime geste. Cette fois il se plairait à constater la peur et la perte d'espoir quitter les prunelles de la vampire . « Fais-le Nik' ! Tu m'as déjà poignardé une fois en me laissant pour morte sous cette terre qui était la nôtre. Alors, fais-le ! Cette fois-ci je n'aurais pas besoin d'errer en souffrant de ton absence. » Se dialecte... était-ce une mauvaise blague? Plus personne ne parlait cette langue morte d'une époque si lointaine. Pourquoi ne ? Les paroles de la jeune fille l'éclairait d'une certaine façon mais le plongeait aussi dans une sorte de mélange d'émotions inquiétante... Si d'abord il semblait que ces yeux furent embuer d'eau saline par une blessure passé qui se rouvrait, bien rapidement c'est une rage impressionnante qui prit possession de l'homme. D'abord il eu cette image qui lui revenait en souvenir, de la jeune femme à la chevelure presque blanche qui flottait dans la brise des collines. « Tue-moi une nouvelle fois et enterre moi encore. Oublie cette femme aux cheveux blonds que tu as autrefois aimé, tue-la pour ne pas paraître faible auprès des autres. Parce que c'est tout ce qui t'importe aujourd'hui... Siggy est morte.... » Quel genre de menace était cela! Pendant quelque seconde son visage montrait un douleur revenant à la diction de ce prénom si lointain. Il semblait blesser. Mais rapidement la rage prit le dessus, croyant à un sorte de plaisanterie mal venue, quelque qui aurait chercher loin dans son passer pour jouer avec ce qu'il eu de sentiment un jour. il retirais sa main en l'attrapant par la gorge pour la poster au dessus des flammes, quelques larmes de rage se nichait au coins de son œil... « je ne l'ai pas tuer!!! tu va payer pour cela! je vais te tuer toi et tout ceux que tu a connu le long de ta misérable existence! » cirait t-il de rage..